On peut dire que la moto, j’y suis tombé dedans quand j’étais petit.
Mon père était un passionné d’enduro et toute la famille le suivait sur les courses, nous parcourions la France entière et j’adorais entendre le bruit des moteurs.
J’ai fais ma première course à 6 ans
Je ne savais pas faire du vélo que j’avais déjà une moto, mon père avait fixé des roulettes de chaque côté et rien ne m’arrêtait.
A 6 ans, j’ai fais ma première compétition amicale sur un petit circuit, j’étais très fier de remporter ma première coupe!
Puis la passion m’a gagné, j’ai progressé sous les ordres de mon père, j’en ai pris des engueulades de sa part parce que je ne faisais pas comme il le voulait mais peu importe c’est peut-être ça qui m’a fait évoluer.
Il faut être conscient des risques
Pour faire de la moto dans de bonnes conditions, il ne faut pas avoir la peur au ventre mais il faut savoir dans tous les cas les dangers que la moto représente.
C’est un sport mécanique dangereux, il faut donc être prudent, et surtout ne pas avoir peur car cette peur paralyse et empêche le pilote d’être concentré sur son parcours.
C’est une drogue pour moi
La moto, c’est une drogue pour moi, je ne pourrais jamais m’arrêter, j’ai besoin de cette adrénaline pour me défouler, c’est vital à mon bien être.
Heureusement que je suis chez mes parents car mon salaire passe entièrement dans mes motos et tout ce qui va avec pour les courses!